Laia à Paris 11

A sa carte, une cuisine du Sud. Un accent ibérique, l’autre français versant méditerranéen, le troisième italien. La fraîcheur des produits comme constante. L’a…uthenticité du goût en ligne directrice. Entrées à partager Cuisine de joie, Laïa ouvre sa carte d’entrées au partage et aux influences de Méditerranée. Série de crudos au choix (thon, daurade), carpaccio de betterave, agnolotti (pâtes farcies italiennes) et consommé de bœuf… l’esprit est à la fraîcheur, au dépaysement. Robata, la cuisson sur braises Bien qu’originaire du Japon, le Robata (diminutif de robatayaki) enflamme depuis des années la cuisine espagnole. Une cuisson des aliments à la braise spectaculaire, alimentée au charbon, sorte de barbecue géant où grillent brochettes de viandes, de poissons et légumes, laissant aux préparations un goût fumé et savoureux. Proposée en live – 4 tabourets au comptoir face au tapis de braises – la cuisson Robata fait saliver autour de recettes gambas, piquillos et burrata. Le poulpe grillé se gorge de soleil, la brochette de bœuf se goûte à la poire et à la truffe, le poulet tient ses meilleurs morceaux, et les Friarielli – connus aussi sous le nom de « brocolis-rave » - font chanter Naples et l’Italie. Les vegans ne sont pas oubliés, l’option brochette carotte, cacahuète et clémentine déconnectant, elle aussi, de Paris. Cuisine latine Laïa aime l’Italie. Et sert au déjeuner comme au dîner, ses meilleures Tortelli à l’ossobuco et notes de safran. Alternative Gnocchi, bufala et langoustine pour continuer à rêver. Tiramisu choco et Baba Limoncello pour terminer. Laïa aime l’Espagne aussi. Et sa recette de paëlla à l’encre de seiche est unique. La maison réinterprète la « morue pil-pil » traditionnelle et la joue glamour en version cabillaud. Laïa aime enfin la France. Et ses côtelettes d’agneau rappellent les plus beaux trésors de Provence. Entrées à partager Cuisine de joie, Laïa ouvre sa carte d’entrées au partage et aux influences de Méditerranée. Série de crudos au choix (thon, daurade), carpaccio de betterave, agnolotti (pâtes farcies italiennes) et consommé de bœuf… l’esprit est à la fraîcheur, au dépaysement. Robata, la cuisson sur braises Bien qu’originaire du Japon, le Robata (diminutif de robatayaki) enflamme depuis des années la cuisine espagnole. Une cuisson des aliments à la braise spectaculaire, alimentée au charbon, sorte de barbecue géant où grillent brochettes de viandes, de poissons et légumes, laissant aux préparations un goût fumé et savoureux. Proposée en live – 4 tabourets au comptoir face au tapis de braises – la cuisson Robata fait saliver autour de recettes gambas, piquillos et burrata. Le poulpe grillé se gorge de soleil, la brochette de bœuf se goûte à la poire et à la truffe, le poulet tient ses meilleurs morceaux, et les Friarielli – connus aussi sous le nom de « brocolis-rave » - font chanter Naples et l’Italie. Les vegans ne sont pas oubliés, l’option brochette carotte, cacahuète et clémentine déconnectant, elle aussi, de Paris. Cuisine latine Laïa aime l’Italie. Et sert au déjeuner comme au dîner, ses meilleures Tortelli à l’ossobuco et notes de safran. Alternative Gnocchi, bufala et langoustine pour continuer à rêver. Tiramisu choco et Baba Limoncello pour terminer. Laïa aime l’Espagne aussi. Et sa recette de paëlla à l’encre de seiche est unique. La maison réinterprète la « morue pil-pil » traditionnelle et la joue glamour en version cabillaud. Laïa aime enfin la France. Et ses côtelettes d’agneau rappellent les plus beaux trésors de Provence.