Studio 7

Adresse :

Le chemin des Ecoliers
31650 Auzielle

Informations :

Cinéma Art et Essai
1 écran
98 places

Description :

« Plein tarif 7.30 € Adhérents et autres réduits 5.00 € Vendredi 18h00 et - 14 ans 4.50 € Carnet 5 tickets 33.50 € Adhésion 30 € Depuis 1985, Studio 7 revendique son appellation de cinéma de proximité et suit, au plus près, l’actualité cinématographique nationale et internationale. Il est… situé à la frontière de la ville et de la campagne et c’est dans un cadre de verdure que notre équipe vous accueille toute l’année dans son cinéma des champs ! Cette salle d’une centaine de places, refaite à neuf en 2005, propose des séances tous les jours, plusieurs animations par mois et reçoit environ 23 000 spectateurs par an. Privilégiant la qualité d’accueil et le contact permanent avec son public, notre établissement participe au développement local d’Auzielle, tout en rayonnant sur l’ensemble des communes voisines. Il crée aussi des ponts avec les villes et les cinémas de Castanet et Ramonville, grâce à l’association Toile de l’Hers, et avec Toulouse en accueillant des festivals décentralisés. Tout au long de l’année, nous travaillons en partenariat avec le tissu associatif local, en organisant différentes manifestations telles que des cycles de cinéma étranger, soirées thématiques, soirées débat… Titulaire d’un classement national Art et Essai assorti d’un label Jeune Public, nous proposons en plus des séances d’actualité, un programme pour les plus jeunes (à raison d’un film par semaine lorsque c’est possible) et un cycle autour du cinéma de répertoire Un siècle de ciné, avec, en moyenne, une séance par mois. Historique : En 1985, après plusieurs années de ciné-club, Monsieur Bozec, à la fois passionné de cinéma et maire d’Auzielle, permet à son village de se doter d’un établissement culturel en bénéficiant des lois Lang A cette époque, Studio 7 (Studio pour rappeler les lieux de tournage et 7 pour septième art), précurseur du style « cinéma de proximité » est encore le seul dans le sud-est toulousain. Peu de temps après sont venus les cinémas de Castanet puis Ramonville. En cette année 1985, bénévoles et cinéphiles (parfois les deux !) se retrouvent dans cette salle de 100 places où, le mercredi 4 septembre, Witness ouvre le bal ! On compte alors 9 séances hebdomadaires, dont une de répertoire, et les tarifs oscillent entre 15 et 20 francs. En 1987, Silverado est le 1er film projeté en plein air et Studio 7 reçoit Fanny Cottençon et Roger Coggio pour Le journal d’un fou. Le solitaire est également à l’affiche, en sortie nationale, en même temps qu’au Gaumont Wilson et qu’au Nouveauté ! En 1988 un festival de films pour enfants se met en place en partenariat avec Ramonville, tandis que Tavernier est reçu à Auzielle pour La passion Béatrice. En 1989, Studio 7 se voit attribuer son 1er classement Art et Essai (il n’y a alors que 3 salles en région toulousaine à l’obtenir). En 1995, après 10 ans d’existence, Studio 7 fête comme il se doit les 100 ans du cinéma, reçoit Miller et tourne avec environ 120 films par an. Le 20 décembre 96, le multiplexe Gaumont ouvre à Labège les portes de ses 16 salles. A 44 francs la place, la 1ère semaine d’ouverture est un succès avec 17 972 entrées (soit environ notre résultat annuel) … et une catastrophe pour Studio 7 ! L’association « Les Toiles de l’Hers » est créée et par son biais le SICOVAL vient en aide aux 3 cinémas de son territoire. En 2001, le festival Les Toiles des Enfants voit alors le jour et s’adresse à toutes les écoles du secteur. Et puis, peu à peu, en restant fidèle à une programmation Art et Essai, en gardant une politique tarifaire basse, en se serrant les coudes avec les collègues des autres cinémas indépendants, les spectateurs sont revenus. Les finances du ciné ont quitté le rouge et nous sommes repartis voyager en Afrique, en Islande, en Inde, en Chine, aux Antilles ; les soirées ont à nouveau parlé de musique, d’humour, de version originale ou de festivals, les ciné-goûters ont repris et Studio 7 est resté debout ! En 2005, Studio 7 est toujours là et fête ses 20 ans en espérant que dans 20 ans encore, ce petit cinéma, quelque part en Pays de Cocagne, sera encore là pour vous raconter la suite de son fabuleux destin… Privilégiant la qualité d’accueil et le contact permanent avec son public, notre établissement participe au développement local d’Auzielle, tout en rayonnant sur l’ensemble des communes voisines. Il crée aussi des ponts avec les villes et les cinémas de Castanet et Ramonville, grâce à l’association Toile de l’Hers, et avec Toulouse en accueillant des festivals décentralisés. Tout au long de l’année, nous travaillons en partenariat avec le tissu associatif local, en organisant différentes manifestations telles que des cycles de cinéma étranger, soirées thématiques, soirées débat… Titulaire d’un classement national Art et Essai assorti d’un label Jeune Public, nous proposons en plus des séances d’actualité, un programme pour les plus jeunes (à raison d’un film par semaine lorsque c’est possible) et un cycle autour du cinéma de répertoire Un siècle de ciné, avec, en moyenne, une séance par mois. Historique : En 1985, après plusieurs années de ciné-club, Monsieur Bozec, à la fois passionné de cinéma et maire d’Auzielle, permet à son village de se doter d’un établissement culturel en bénéficiant des lois Lang A cette époque, Studio 7 (Studio pour rappeler les lieux de tournage et 7 pour septième art), précurseur du style « cinéma de proximité » est encore le seul dans le sud-est toulousain. Peu de temps après sont venus les cinémas de Castanet puis Ramonville. En cette année 1985, bénévoles et cinéphiles (parfois les deux !) se retrouvent dans cette salle de 100 places où, le mercredi 4 septembre, Witness ouvre le bal ! On compte alors 9 séances hebdomadaires, dont une de répertoire, et les tarifs oscillent entre 15 et 20 francs. En 1987, Silverado est le 1er film projeté en plein air et Studio 7 reçoit Fanny Cottençon et Roger Coggio pour Le journal d’un fou. Le solitaire est également à l’affiche, en sortie nationale, en même temps qu’au Gaumont Wilson et qu’au Nouveauté ! En 1988 un festival de films pour enfants se met en place en partenariat avec Ramonville, tandis que Tavernier est reçu à Auzielle pour La passion Béatrice. En 1989, Studio 7 se voit attribuer son 1er classement Art et Essai (il n’y a alors que 3 salles en région toulousaine à l’obtenir). En 1995, après 10 ans d’existence, Studio 7 fête comme il se doit les 100 ans du cinéma, reçoit Miller et tourne avec environ 120 films par an. Le 20 décembre 96, le multiplexe Gaumont ouvre à Labège les portes de ses 16 salles. A 44 francs la place, la 1ère semaine d’ouverture est un succès avec 17 972 entrées (soit environ notre résultat annuel) … et une catastrophe pour Studio 7 ! L’association « Les Toiles de l’Hers » est créée et par son biais le SICOVAL vient en aide aux 3 cinémas de son territoire. En 2001, le festival Les Toiles des Enfants voit alors le jour et s’adresse à toutes les écoles du secteur. Et puis, peu à peu, en restant fidèle à une programmation Art et Essai, en gardant une politique tarifaire basse, en se serrant les coudes avec les collègues des autres cinémas indépendants, les spectateurs sont revenus. Les finances du ciné ont quitté le rouge et nous sommes repartis voyager en Afrique, en Islande, en Inde, en Chine, aux Antilles ; les soirées ont à nouveau parlé de musique, d’humour, de version originale ou de festivals, les ciné-goûters ont repris et Studio 7 est resté debout ! En 2005, Studio 7 est toujours là et fête ses 20 ans en espérant que dans 20 ans encore, ce petit cinéma, quelque part en Pays de Cocagne, sera encore là pour vous raconter la suite de son fabuleux destin… »

Source : Facebook.
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